Anomalie digestive
On observe de l’anomamie dans notre appareil digestif face aux conséquences du stress. Trop occupé à contrer le danger transmis par le stress, il ralentit et dérègle l’activité intestinale, et n’assimile plus correctement la nourriture.
Résultat : ballonnements, brûlures d’estomac, remontées acides, ulcère gastroduodénal, syndrome du côlon irritable et, évidemment, constipation, diarrhée et indigestion. Bref, ce n’est pas pour rien que le stress fait mal au ventre!
La prise de poids
Ce n’est pas toujours facile de maintenir un poids santé quand on est aux prises avec les conséquences du stress, encore moins quand on a un rythme de vie effréné. Par manque de temps, ou d’intérêt, nous avons alors tendance à avaler le contenu de notre assiette d’un trait, ou à faire l’impasse sur les repas santé.
Mais un autre responsable de taille est étroitement lié à l’embonpoint relevé chez bon nombre de personnes continuellement stressées : le fameux cortisol. Cette hormone du stress envoie un signal de faim à notre cerveau, puisque notre organisme a généralement besoin de nourriture pour se remettre d’une « agression ». Sauf que ces aliments réconfortants ne sont pas toujours des plus équilibrés. Le Dr Joe Dispenza en parle sur le site bebooda.fr .
Les problèmes de sommeil
On le sait, stress et sommeil ne font pas bon ménage. Le soir, nous ruminons souvent notre journée et anticipons négativement celle du lendemain. Et c’est sans compter que, fatigués, nous faisons moins bien face à l’anxiété, qui va alors peu un peu s’installer.
Mais l’aspect psychologique n’est pas le seul responsable face aux troubles du sommeil. Physiologiquement, notre système nerveux sympathique nous donne aussi du fil à retordre; il refuse de se mettre en veille pour pouvoir faire face au danger qui nous guette.
La perte de mémoire
L’hippocampe joue un rôle essentiel dans le processus de mémorisation. Alors, quand le cortisol s’empresse de détruire les cellules nerveuses de cette zone de notre cerveau, c’est l’ensemble de nos fonctions cognitives qui sont touchées en conséquence au stress.
Cela explique pourquoi notre concentration et notre manque de jugement nous font aussi défaut quand nous sommes au bord de la crise de nerfs.